Je m’appelle Gilles, je suis propriétaire du Tiwal 3 depuis mars de l’année dernière.
Moi c’est Yves, je suis un collègue de Gilles, et c’est dans une conversation de travail qu’il m’a parlé de ce projet de bateau.
Où naviguez-vous ?
J’habite Grenoble et je passe souvent mes vacances de l’autre côté de la France sur le plan d’eau de la Palmyre, à côté de Royan.
Pareil, donc j’habite Grenoble, on s’est inscrits au lac de Paladru où on en fait un peu les weekends.
J’emmène mes enfants aussi ou des amis des enfants. Puis l’été, j’en fais un petit peu maintenant en Bretagne, à Penestin.
Là aussi, c’est sympa de pouvoir transporter son bateau au bord de la mer et d’en profiter aussi dans un mode vacances, et pas que dans un mode weekend.
Comment utilisez-vous votre Tiwal ?
Une pratique sportive, j’aime bien les sensations quand ça avance, quand ça bouge, quand on est au rappel. En fait, j’ai retrouvé à travers le Tiwal des sensations que j’avais principalement avec le Laser, et c’est vraiment ce côté sportif que j’aime bien avec ce bateau. J’ai pu comparer en naviguant avec des Laser et des 4.20, et le Tiwal 3 n’a pas du tout à rougir de ses performances dès qu’il y a un peu de vent, en terme de plaisir de naviguer.
Quand il n’y a pas assez de vent pour faire de la planche à voile… Moi j’ai des planches qui coulent et puis j’ai un petit peu un gros gabarit, donc il faut quand même que j’ai au moins force 5 et du coup ça permet de combler les journées au bord de la mer quand il y a moins de vent. C’est quand même assez souvent le cas l’été en Bretagne. Pour quand même faire une activité qui, en plus, n’est pas en solo, puisque là, on peut emmener un ou deux enfants, voire les enfants peuvent sortir tout seuls. Donc ça je trouvais que c’était très chouette.
Ça rajoute une capacité de s’amuser avec une gamme de temps un peu plus élargie. Et puis on en fait un peu pendant les weekends. C’est histoire de changer des randonnées en montagne, puisqu’on habite à Grenoble. Donc de temps en temps, faire un plouf dans le lac et naviguer. Et Gilles de temps en temps, prend un de mes enfants avec lui.
Donc on se fait des petites mini-régates à deux, c’est très très sympa. Tous les enfants s’y sont mis, y compris le dernier.
En lac, je pense qu’ils sont déjà sortis tout seuls en autonomie, et revenus. Donc ça, c’est très très bien.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonnés ?
En termes de performance, dès qu’il y a un peu de vent, c’est bien, car on se met tout de suite au rappel donc les sensations sont sympa.
Je connais bien le Laser donc c’est un moyen de comparer. Je trouve qu’il est déjà beaucoup plus maniable.
Dès qu’il y a un peu de vagues, on se fait un peu plus secouer, mais ça fait partie du fun !
Moi je retrouve dans le Tiwal des sensations que j’avais dans le Laser. Je prends vraiment beaucoup de plaisir à pouvoir sortir et l’avantage c’est qu’il est pas très lourd, facilement maniable donc en étant seul à naviguer, je le monte, je le démonte, très rapidement je le mets à l’eau, je le ressors. C’est une facilité incroyable de pouvoir profiter vraiment de ce bateau dans quasiment toutes les conditions de vent.
J’ai eu la possibilté de sortir avec du vent fort où un collègue ne pouvait pas sortir avec son Laser, moi j’avais pris un ris et je me suis fait plaisir.
Les gens sont super contents de voir le bateau parce qu’il a une bonne bouille ! Il a ce côté rond, pneumatique, du coup ça attire, c’est pas un truc profilé, il a une bonne tête ce bateau. Donc les gens ont envie de le voir, Je sais que j’ai prêté mon bateau à des familles où il y avait des enfants, qui regardaient le bateau et j’avais vu que le père avait déjà navigué en louant un catamaran. J’ai dit, vous voulez l’essayer ? Ils l’ont essayé, sans aucun problème donc en fait c’est un bateau très convivial dans le sens où là, tu rencontrais des gens sur la plage et puis ça créé des amitiés, j’allais dire nautiques, mais avec des gens qui sont par ailleurs sur la plage pendant les vacances et ça donne une très très bonne ambiance.
Je confirme le nombre de gens qui sont venus me voir et discuter du bateau et du concept, c’est assez incroyable. Et vraiment, comme dit Yves, une façon de discuter avec les gens qu’on ne connait pas du tout mais on est en train de préparer le bateau ou de le ranger et puis les gens viennent et on commence des discussions.
Content de votre Tiwal ?
C’est une ambiance très familiale c’est la vie facile de vacances je trouve, c’est très agréable à vivre en tout cas.
C’est des belles journées de vacances qui sont bien remplies.
On a passé déjà un printemps, un été, un automne et je n’ai jamais fait autant de voile en 2021, que les dix dernières années.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
C’est quand j’ai chapoté, ça m’a rappelé mes débuts en catamaran et j’ai vu que ça se remettait tout seul, impeccable. Vraiment c’était très facile (ndlr : consultez notre FAQ sur le ressalage). On avait fait l’exercice quand il n’y avait pas de vent avec les enfants pour qu’ils se rendent compte de ce que c’est ils sont tout à fait capables de le faire donc c’est comme n’importe quel baptême à un moment donné il faut faire des bêtises pour s’apercevoir qu’on arrive à s’en sortir. Là ça m’a bien plu mais sinon c’est calé au vent un petit peu au rappel, et le sentiment que ça avance bien et c’est super agréable.
C’est sûr que c’est des bons moments passés en mer avec le vent, les mouettes, le soleil, les embruns.
On est au paradis quelque part pendant ces instants de navigation.
C’est plutôt le plaisir de pouvoir naviguer, la grosse différence en ayant son bateau, c’est de pouvoir aller naviguer quand on veut en fonction du temps de ce qu’on fait pendant ses vacances par rapport à une location où on est obligé de prévoir à l’avance. Et puis on y va et puis y’a du vent, y’a pas du vent. Donc c’est vraiment, je dirais, la liberté de faire de la voile quand on en a envie, et où on a envie avec le Tiwal 3 qui peut facilement se déplacer. C’est une année de souvenirs de voile qui sont super intéressants.