Thierry habite dans le Vaucluse et possède un dériveur Tiwal 3.
Depuis combien de temps avez vous votre Tiwal ?
Je l’ai commandé il y a deux ans, pour Noël.
Où naviguez-vous ?
Je navigue essentiellement sur la plage de Piemanson qui se trouve sur la commune d’Arles, plus précisément au Salin de Giraud. C’est une très très grande plage, très accesible, le parking est sur la plage. Donc pour le Tiwal c’est vraiment bien.
Je peux le monter au sortir du coffre de la voiture, à 100 mètres de la plage. C’est le scénario côté mer.
Je navigue aussi sur les lacs, du côté de Pierrelatte.
Et puis je l’ai aussi utilisé en vacances. J’essaye d’être au bord de la mer, dans les différents coin de France où je suis allé, je l’ai emmené avec moi dans le coffre, avec le chien. Je n’ai plus d’enfants, donc du coup je mets les valises sur le toit, et je rabats les sièges arrières, et je met mon bateau et mon chien.
Navigation en solo ou en duo ?
Je suis en navigation solo, et de temps en temps avec mon épouse.
Quelle était votre expérience avant le Tiwal ?
J’ai fait beaucoup de bateau quand j’étais jeune. De l’enfance, adolescence, et même au moment du service national puisque je l’ai fait en club nautique dans la marine, du côté de Tahiti.
Et j’ai tout essayé : de la caravelle, de l’Hobie Cat, du Laser… J’ai commencé par le Zef, le 4.45, j’ai fait pas mal de bateau. Et puis pendant 30 ans plus rien. Problématique d’habiter près de l’eau. Et faire du bateau jusqu’à maintenant, c’était des coques rigides encombrantes, avec remorques, il faut le stocker, le garer… Toutes les raisons pour lesquelles je n’avais plus fait de bateau.
Jusqu’au jour où j’ai découvert Tiwal. Je vous ai suivi et j’ai franchi le pas. Voilà un moyen de pouvoir en l’espace d’une journée de me retrouver sur l’eau. C’est une offre sur le marché qui n’existait pas avant, et qui comble totalement l’attente que j’en avais. Et en plus le Tiwal est joli ! Le côté esthétique est sympa.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonné ?
C’est un joli bateau. À noter aussi le fait qu’il n’y en ait pas partout. Les gens sont curieux, ils viennent te voir… Il y a une singularité à avoir ce type de bateau, qu’on aurait pas avec un 4.45, un Laser ou un autre. À part ça on retrouve – et c’est tout l’intérêt du truc – un vrai dériveur : une capacité à fendre la mer. Il y a une vraie praticité à avoir ce type de bateau que le marché n’offrait pas jusqu’à maintenant.
Il y a des marques qui deviennent même le nom générique. On dira peut-être un jour : “j’ai un Tiwal” pour dire dériveur gonflable !