Bonjour !
Je m’appelle Pascal. Je suis de Nantes.
Et je suis l’heureux propriétaire d’un petit deriveur Tiwal 3, de 2020.
Votre expérience avant le Tiwal ?
Beaucoup de voile légère. Planche à voile. Dériveur aussi.
Mais beaucoup de planche à voile.
Voile de croisière également, sur des voiliers, et puis, voile de régate.
Des entraînements d’hiver, au Crouesty ou à la Trinité sur J/24 ou autre.
En général, de la voile plutôt sportive quand même.
Où naviguez-vous ?
Alors, je navigue beaucoup à Noirmoutier et également, dans le Golfe du Morbihan.
À Noirmoutier, il y a quelques propriétaires. Y compris dans ma famille proche.
On se donne des petits rendez-vous. Et puis alors maintenant, avec l’application Tiwal qui a été lancée cet été, c’est canon.
On voit qui est où. Et le cas échéant, on peut se caler des rendez-vous.
Comment utilisez-vous votre Tiwal ?
J’aime bien le programme de navigation famille.
Avec mes enfants, qui sont en bas âge, que j’initie à la voile et qui aiment beaucoup ça.
Qui sont aussi des petits gabarits, qui pèsent pas bien lourd. Donc, on garde de la vitesse et de la gîte sympa.
Un petit peu plus sport, tout seul, quand ça souffle un peu, que ça déjauge et que ça plane. Là, c’est vraiment sympa. On arrive à avoir des bonnes sensations.
Et si on est à 2 ou 3 Tiwal à se tirer la bourre, là c’est le top, c’est le top.
Comment transportez-vous votre Tiwal ?
Alors, je le transporte sur le toit de la voiture. Parce qu’en général sur la remorque, j’ai les vélos.
Mais si j’ai pas les vélos, je le mets sur une plateforme à l’arrière.
Et éventuellement à l’intérieur si jamais, je n’ai pas grand monde dans la voiture. C’est plus facile.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonné ?
Ce qui m’épate, c’est la simplicité du concept. Tellement simple, qu’on se demande : comment on y a pas pensé avant. C’est un peu toujours comme ça les bons concepts.
La gueule du Tiwal aussi. Il a une bonne gueule, il est beau. Il attire l’oeil.
Et puis, sa simplicité de navigation. C’est à dire que, qu’on soit très expérimenté ou pas, j’ai pu faire monter dessus des personnes qui ne connaissent pas grand chose à la voile.
La prise en main est assez simple, malgré tout.
Et en même temps, cette caractéristique quand même de navigation qui peut être aussi un peu sportive, où on peut vite se faire avoir ou embarquer si on a pas assez de vigilance de la navigation.
Content de votre Tiwal ?
Ça correspond exactement à ce que j’imaginais.
C’est-à-dire de la voile légère assez ludique, et en même temps, avec la possibilité de trouver des bonnes sensations de glisse.
Sans évidemment, toutes les impressions de vitesse qu’on peut avoir en planche ou en kite, bien sûr mais c’est pas l’esprit.
En revanche, à mi-chemin entre le dériveur et le Laser peut-être.
Dans les sensations très proches de l’eau. Ça c’est agréable aussi la proximité de l’eau, quand on est au rappel.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
J’ai deux bons souvenirs.
Les premières sorties avec ma fille, entre autre, qui a 12 ans. C’était un peu la découverte. Tous les deux en fait, on attendait ce bateau avec impatience et quand on a pu faire notre première sortie, c’était top. On n’a pas manqué de dessaler et de se foutre à la baille et de bien rigoler.
Et une deuxième sortie, vraiment sympa où l’été dernier ça bastonnait quand même pas mal. On était à 2 Tiwal, un par Tiwal, avec un de mes cousins. Et on s’est tiré des bourres assez impressionnantes. En plus, un petit peu dans la houle, avec des surfs au large. Incroyable.
Donc des sacrées sensations de glisse.
Deux beaux souvenirs.
Et on va en fabriquer pleins d’autres !