Bonjour, moi c’est Maïa je viens de Toulouse.
Bonjour, moi c’est Fabien, de Toulouse aussi. On a le Tiwal 3.
Depuis combien de temps avez-vous votre Tiwal ?
Juin. De cette année.
Votre expérience avant le Tiwal ?
Oui avant, j’avais fait du catamaran et des petits voiliers.
Quasiment tout l’été, j’ai pris des cours sur un lac. Alors mon expérience avant elle était très limitée, du coup c’est plutôt Maïa qui m’a appris à naviguer dessus. Après l’avoir elle, maîtrisé, elle m’a embarqué pour me montrer comment faire, mais moi je suis débutant.
Où naviguez-vous ?
Sur le lac de Vielle-Saint-Girons (étang de Léon). C’est dans les Landes.
En solo ou en duo ?
J’ai commencé avec le moniteur, du coup on était à deux. Et ensuite il m’a laissé toute seule. J’ai d’abord appris à savoir bien m’en occuper, à savoir bien faire les virements de bord… Et après, on a commencé à faire des courses, à aller plus vite, à apprendre à tourner plus rapidement, et ça variait en fonction des cours.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonné ?
Moi ce qui m’a vraiment surpris c’est sa légèreté. Et j’adore parce que quand on parle de facilité de transport, on le met sur une remorque, et on y va en vélo sur le plan d’eau. Donc il est tellement léger qu’on le déplace à vélo. C’est hyper pratique même pour la mise à l’eau… c’est léger, c’est génial.
Comme papa l’a dit, il est super léger, en fait, j’ai appris à surfer sur les vagues sur les petites vagues du lac et on va vachement plus vite et c’est super rigolo.
J’ai beaucoup aimé la simplicité de navigation. C’est accessible à tout le monde même pour un débutant, j’ai trouvé que, très rapidement on se sent à l’aise. C’est vraiment ça qui m’a plu.
Comment s’est passée la prise en main du Tiwal ?
Je pense qu’il y a matière à progresser. Je suis resté un petit peu prudent sur les premières navigations mais il y a matière je pense à progresser, à pousser un petit peu plus loin le bateau. C’est ça qui est sympa, c’est qu’on le prend vite en main, et je sens qu’il y a quand même une marge de progression, et qu’une fois qu’on aura un petit peu plus d’expérience on va pouvoir un peu tirer dedans, et se faire plaisir de façon un petit peu plus sportive.
Au début j’aurais jamais pensé que je pourrais en faire toute seule parce que je pensais que c’était comme le catamaran et qu’il fallait toujours être à plusieurs. Sauf que j’en ai fait tout seul j’ai souvent dessalé et ce qui est bien c’est que c’est facile pour ressaler et du coup même quand je suis toute seule je peux arriver à le faire. Et oui c’est très maniable, c’est plutôt facile à naviguer.
Content de votre Tiwal ?
Ce qui m’a séduit avec le Tiwal c’est surtout sa modularité c’est-à-dire sa simplicité de transport, la capacité de pouvoir l’embarquer et de le déplacer un petit peu partout : on navigue dans les Landes, on navigue à Toulouse,… Voilà, c’est surtout ça qui m’a plu, et par rapport à un autre bateau je n’aurais pas franchi le cap si on n’avait pas cette possibilité de le démonter et de le transporter aussi facilement.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
Moi, le meilleur souvenir, c’est d’être monté dessus avec ma fille et qui m’a montré comment faire. C’était vraiment chouette de la voir m’apprendre à m’en servir, c’est la première fois où on est partis tous les deux avec, ça a été mon meilleur souvenir.
Moi mon meilleur souvenir d’abord c’est quand j’étais monté avec papa et que je lui apprenais. C’était rigolo parce que je me mettais à la place du professeur qui m’avait appris. Et après, c’était un jour où il y avait énormément de vent, je stressais un peu parce que j’avais peur de me faire embarquer et de dessaler tout le temps, alors que non en fait on a complètement levé la dérive et j’allais super vite, je faisais des allers-retours sur le lac à fond et c’était super.