Donc moi c’est Hugues, j’habite à Nantes, donc Loire-Atlantique (Pays de Loir)e, la côte ouest, au bord de l’eau.
Depuis combien de temps avez-vous votre Tiwal ?
Depuis combien de temps j’ai mon Tiwal 3 ? Ça me paraît déjà il y a fort longtemps. J’ai l’impression que je l’ai toujours eu donc en fait je dirais que ça fait trois/quatre ans.
Où naviguez-vous ?
Alors je n’ai aucun port d’attache, je navigue à peu près là où je trouve un point d’eau et en fait, je trouve ça plutôt sympa, parce que comme ça je me balade avec le bateau. Je le mets dans la remorque, ou dans le coffre quand j’ai moins d’enfants, et donc j’en fais un coup dans l’ouest, sur la côte Atlantique, parfois en Méditerranée, sur le lac d’Annecy. J’en ai même fait sur le Lot. J’en ai fait en Bretagne nord.
Je l’emmène avec moi. Parfois il me sert, parfois pas, mais ce qui est génial, c’est que même quand il ne me sert pas, ma femme ne m’engueule pas pour avoir emmené un bateau qui ne sert à rien.
En solo ou en duo ?
Alors c’est essentiellement une navigation solo ou avec mes plus jeunes enfants parce que je trouve c’est un super bateau où tu n’as pas peur. T’es au ras de l’eau. Ma petite dernière qui a 12 ans, depuis qu’elle a le Tiwal, elle adore. Elle est devenue fan, d’ailleurs.
Elle a pris des cours de voile suite à l’essai du Tiwal. Parce que ça lui a donné goût, aucune peur, l’impression qu’il peut se passer n’importe quoi. Que même si elle a envie de se barrer au milieu de la nav’, si son père devient chiant, elle saute à l’eau, donc c’est plutôt sympa. Puis c’est facile à manœuvrer, donc elle a vraiment pris goût avec le Tiwal en fait. Ça, c’est sympa !
J’ai été content de redonner goût à la voile à ma fille grâce au Tiwal. Et ce n’est pas l’objet initial de fabrication, mais je m’en sers même comme plongeoir paddle familial. J’enlève toute l’armature et j’emmène toute la famille. On est huit sur la planche et comme ça, on peut rester se baigner au large.
Comment s’est passée la prise en main du Tiwal ?
J’avais une certaine appréhension du temps de montage ou de démontage. J’ai eu quelques mésaventures, j’en ai d’ailleurs toujours de temps en temps mais globalement je me dis que le truc, il est quand même simple.
C’est d’ailleurs pour ça que je l’emmène et c’est d’ailleurs pour ça que ma femme ne m’engueule pas quand je le mets dans le coffre. Et qu’elle a conscience que globalement ça ne va pas trop polluer la journée si je décide d’aller faire une sortie en mer pendant une heure. Globalement ça va durer une heure dix, quoi !
Donc c’est plutôt pas mal, ça c’est plutôt la bonne surprise. Après sur la navigation elle-même, franchement c’est génial. Je trouve ça génial.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonnés ?
Tu ne te sens pas en danger en fait, c’est quand même super positif.
Surtout quand tu es avec des jeunes enfants ou des gens moins aguerris, qui sont partis faire une balade avec toi il n’y a aucune appréhension de danger je trouve. Ça c’est quand même très positif, parce que le bateau est hyper stable, même si tu as un énorme changement de vent, même si tu as une grosse rafale, même si tu pars à la “patouille”, tu te sens pas du tout en danger et donc ça c’est vraiment sympa.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
C’est finalement d’en avoir fait à la montagne. Parce que le paradoxe d’un bateau c’est que tu l’emmènes rarement à la montagne et j’ai pu en faire sur un petit lac d’altitude en Haute-Savoie qui n’est pas le lac d’Annecy.
Bon bah c’est improbable quoi, tu ne t’arrêtes pas faire du bateau sur un lac même si tu as pu venir en voiture, mais il n’y a pas de bateaux donc c’est ça qui est génial.
C’est d’être capable de se dire : « mais comment le mec il est venu avec un bateau à cet endroit-là ? », et tu es tout seul et c’est juste magique, en fait.
Te dire que tu peux accéder en bateau à des endroits où personne ne va venir faire du bateau, ça a un côté absolument féérique.