Bonjour, je suis Fabrice, j’habite à Sceaux, dans les Hauts-de-Seine et je navigue sur les Côtes d’Armor, plus précisément à Saint-Quay-Portrieux.
Quel modèle de Tiwal avez-vous ?
J’ai un dériveur Tiwal 3 depuis juillet 2020.
Pourquoi avoir choisi Tiwal ?
Le moteur initial de l’achat du Tiwal, c’était mes enfants. Ils voulaient faire un stage dans une école de voile et tout était complet : impossibilité de faire de la voile. Ils étaient super déçus et s’est offerte la solution du Tiwal. C’était super parce qu’on a pu faire de la voile tout l’été grâce à ça. Ca a été une bonne solution de rechange et pérenne. Dès qu’ils le peuvent, les enfants en demandent. J’ai un fils de 13 ans et un autre de 10 ans et on est monté tous les trois sur le Tiwal, c’était super sympa.
Votre expérience avant le Tiwal ?
Les enfants avaient déjà fait des stages de voile sur Optimist, un peu comme moi qui avais fait de l’Optimist aussi et qui suis presque novice en voile. Très rapidement, j’ai pu prendre en main le Tiwal sans difficulté. Depuis, les enfants ont fait du catamaran et du dériveur. Ils avaient donc un petit niveau de voile, meilleur que moi, mais on a tous réussi à le prendre en main facilement.
Où naviguez-vous ?
A Saint-Quay-Portrieux, on a la chance d’avoir des petites îles qui se découvrent à marée basse. Je faisais une petite traversée, je pouvais me poser sur le sable et profiter pendant la marée basse de petites balades. Dans un deuxième temps, quand l’été était fini, j’ai ramené mon Tiwal en région parisienne. J’ai la possibilité de naviguer à 10 minutes de chez moi, pas besoin d’aller loin, en Normandie, etc. Si je veux un plan d’eau un peu plus tranquille que la Seine qui bouge pas mal, je vais sur le lac de Saint-Quentin. En région parisienne, à l’est, à l’ouest, au nord comme au sud, on a des petits plans d’eau un peu partout.
Comment transportez-vous votre Tiwal ?
J’ai une voiture assez basique : un break pas très récent mais qui fait bien l’affaire. Pour transporter mon Tiwal, je baisse 2 sièges et ça rentre sans souci. C’est aussi ça qui m’a décidé : le transport facile, accéder à des pontons auxquels je n’ai pas accès habituellement. Pour donner l’exemple, j’avais fait du Tiwal sur la Seine, pour avoir accès avec la voiture au ponton où je monte le Tiwal, c’est 45 euros pour le décharger, alors que si je le sors du coffre, je le mets sur la petite remorque, c’est zéro euros donc la question ne se posait pas. En dehors de ça, j’ai eu l’occasion d’aller dans le sud de la France pour faire du Tiwal en Occitanie dans des endroits où je n’aurais pas pu accéder. Ce que j’ai trouvé épatant, c’était tous les endroits où je pouvais accéder à pied. Porter les sacs sur 50 ou 100 mètres, ce n’est vraiment pas un souci et ça me permettait de découvrir des endroits un peu magiques qui étaient un peu inaccessibles par la route ou de manière classique. Se dire qu’on peut aller n’importe où dans le monde pour faire de la voile n’importe où, c’est épatant, incroyable. C’est ça aussi qui m’a décidé à choisir le Tiwal.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonné ?
En ce qui concerne les points positifs, je dirais sa stabilité. Je trouvais que c’était très stable. Dès qu’on commence à faire un peu de voile un peu plus sportivement, on dessale automatiquement. La première fois, ça m’a surpris de dessaler mais j’ai très facilement rétabli le bateau tout seul. J’avais quand même regardé les tutos. Je suis remonté, j’avais un sac étanche, heureusement j’avais tout arrimé avec nos téléphones et c’était très sympa.
Content de votre Tiwal ?
Très content du bateau. C’est la liberté ! Pendant l’hiver, on rêve déjà d’être au printemps ou en été. Bien sûr, on peut faire de la voile en hiver, on peut en faire tout le temps d’ailleurs mais je suis un peu frileux donc je pense souvent à mon Tiwal bien rangé au sec. Super content et les enfants aussi, ils m’en parlent souvent.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
C’était au cours de ma deuxième sortie, j’étais parti aux îles. Pour ceux qui connaissent Saint-Quay-Portrieux, il y a des îles en face qui sont découvrables uniquement à marée basse et difficilement accessibles pour des bateaux qui ont un tirant d’eau même modéré. Grâce au Tiwal avec son fond plat, j’ai pu me faufiler entre les rochers à différents endroits de ces îles et atterrir sur une dune de sable avec la marée qui avait découvert cet endroit que je connaissais très peu mais que je rêvais de découvrir. J’ai pu avoir cette liberté de me poser là et d’attendre que la marée remonte avant de repartir en totale liberté. C’est ça qui m’a le plus plu, c’est la liberté de découvrir des endroits que je ne connaissais pas auparavant.
Où rêvez-vous de naviguer avec votre Tiwal ?
Franchement, aller au bout du monde, dans un endroit complètement improbable où je ne pourrais pas naviguer normalement, pouvoir mettre mon Tiwal dans une voiture que j’aurais louée par exemple, le mettre dans un coffre et aller découvrir un endroit du monde. Ca pourrait être le Brésil par exemple, la côte ouest des Etats-Unis, le Canada… il y a plein d’endroits où je rêverais de voyager, mettre mon Tiwal dans la soute de l’avion, dans le coffre de la voiture de location et c’est parti : on découvre le monde !