Cédric Beaumont j’habite à Bordeaux, et j’ai un Tiwal 3.
Depuis combien de temps avez-vous votre Tiwal ?
J’ai acheté ce Tiwal en fin d’été. J’ai attendu tout l’été pour prendre la décision et je m’en suis servi pendant tout l’été indien et puis l’automne aussi.
Où naviguez-vous en Tiwal ?
Je navigue sur différents plans d’eau : un plan d’eau que j’aime beaucoup qui est à Royan. Donc ça c’est la partie un peu « offshore » où je vais naviguer devant la Grande-Conche. Et puis aussi sur le lac d’Hourtin où j’aime bien aller avec des amis qui eux font de la planche à voile, et moi je les suis avec le Tiwal. On envoie les watts là-bas.
À Hourtin, c’était à chaque fois des conditions plutôt avec beaucoup de vent. Et à Royan on avait un vent plutôt moyen mais ce qui était marrant c’est qu’il y avait des vagues, et donc là on avait plus la sensation d’être au large.
Navigation en solo ou en duo ?
À Royan j’ai navigué à chaque fois avec ma femme. On a pris beaucoup de plaisir à naviguer là-bas en double. Et à Hourtin j’ai toujours navigué seul.
Content de votre Tiwal ?
Déjà le déballage et la mise en place, ça a complètement collé avec l’image que je m’en faisais. Et ensuite une fois le bateau gonflé et mis à l’eau, ça a vraiment dépassé mes attentes parce que je ne m’attendais pas du tout à une réactivité comme ça. Donc j’étais très agréablement surpris des sensations de vitesse qu’on pouvait avoir et du comportement du bateau en général.
Votre expérience avant le Tiwal ?
J’ai commencé la voile sur le tard et je n’ai pas fait de voile légère du tout. J’ai eu un parcours assez rapide en faisant une formation professionnelle intense en hiver en Angleterre, et après quasiment un tour du monde. À chaque fois c’était du gros bateau, et à chaque fois c’était en équipage. Du coup c’était assez rafraîchissant d’appréhender la voile à nouveau sur un spectre complètement neuf, sur le Tiwal, qui est vraiment hyper réactif. Quand il y a des modifications d’assiette on le sent tout de suite. J’ai plus l’impression de faire du kart! Enfin les principes de voile restent les mêmes, mais avant je faisais surtout du gros bateau, alors que là, tout seul sur le Tiwal, c’est vraiment beaucoup plus sportif. Les réglages qu’on fait et les coups de barres, il y a une réponse instantanée. Et dès qu’on a compris ça, on commence vraiment à prendre du plaisir.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
J’ai deux meilleurs souvenirs. Le premier c’est les navigations en double avec ma femme devant Royan, qui était vraiment un grand moment de complicité et de travail en équipe. J’ai vraiment adoré naviguer avec elle sur ce tout petit support. Ensuite c’est le départ au surf à Hourtin, dans des vagues pas très grandes, mais un départ au surf, puis de rattraper la vague suivante et d’enchaîner… ça c’était vraiment très très très grisant !
Quelque chose à rajouter ?
D’une part, je me sers de mon Tiwal assez fréquemment au niveau personnel, mais après je travaille à Yacht Solutions qui est donc une entreprise qui propose le Tiwal aux nouveaux propriétaires de catamarans Lagoon ou aux nouveaux propriétaires de Motor Yachts Prestige, dans la mesure où Yacht Solutions propose l’intégralité de l’équipement technique, d’intérieur, de sécurité et de décoration, pour ces propriétaires de bateaux. J’ai eu un retour de la part d’un équipage, un 77 de chez Lagoon, et ils étaient vraiment très contents d’avoir un Tiwal à bord. Souvent les gens qui louent ces catamarans n’ont pas de bateau eux mêmes, ils n’ont pas forcément une grosse expérience de la voile, mais le fait de se mouvoir à la voile ça intrigue toujours. Et donc d’arriver au mouillage, de gonfler et de préparer le Tiwal en moins d’une demi-heure… ils le mettent à l’eau et les propriétaires peuvent directement partir au mouillage avec donc c’est cool. Autant on peut avoir des sensations si on sait naviguer, autant si on ne sait pas naviguer, le Tiwal c’est un super support pour se familiariser avec ce sport.