Avis client – Aurélien de Saint-Gervais les Bains, Haute-Savoie

Aurélien de Saint-Gervais-les-Bains – Haute-Savoie

Salut à tous, moi c’est Aurélien. Je suis de Haute-Savoie, précisément de Saint-Gervais-les-Bains. Je suis papa d’un petit de 3 ans ½.

Quel modèle de Tiwal avez-vous ?

J’ai racheté pour la deuxième fois un dériveur Tiwal 3, dont je suis super content.

Où naviguez-vous ?

Principalement, je navigue sur le lac Léman ou le lac d’Annecy parce que ce sont les deux plus faciles d’accès pour moi.

J’utilise surtout le bateau pendant nos voyages avec ma femme et mon fils. On aime bien se perdre et partir à la recherche de petits spots : lacs, criques, océans, Méditerranée, en fonction de nos vacances et de nos destinations. Localement, c’est le lac d’Annecy et le lac Léman, puis en fonction de nos voyages, nous nous adaptons.

Nous sommes partis en Grèce pendant un mois et avons navigué à plusieurs endroits, notamment dans le Péloponnèse et en Crète, où nous avons pu naviguer pas mal de fois sur le sud de l’île. Il y avait pas mal de vent, la couleur de l’eau et la température étaient super sympas, on s’est bien éclatés.

Votre expérience avant le Tiwal ?

J’ai grandi à La Baule pendant mes vacances scolaires car mes grands-parents sont de là-bas. J’ai commencé à naviguer sur beaucoup de catamarans et de dériveurs, et j’ai fini par passer mon diplôme de moniteur de voile à La Baule. J’ai enseigné pendant 2 ans là-bas, puis je suis revenu travailler dans le garage familial. Depuis, je navigue régulièrement. J’ai fait huit fois le Bol d’Or sur le lac Léman avec des copains, toujours à titre de loisir, jamais professionnel. Je participe aussi à pas mal de régates sur le lac Léman et fais des petites navigations perso avec des copains ou seul, quand l’occasion se présente.

Comment utilisez-vous votre Tiwal ?

J’aime bien y aller quand les conditions sont idéales : il faut qu’il y ait du vent et que ça envoie un peu. Évidemment, ça change un peu avec mon petit Gabriel. Pour l’initier, il faudra y aller avec des conditions plus calmes, mais en principe, j’aime naviguer quand les conditions sont bonnes. Le Tiwal se transporte facilement et je peux l’emmener partout où je veux. Le bateau est sympa, il navigue bien, on prend du plaisir, c’est à la fois ludique et facile à apprendre.

Comment transportez-vous votre Tiwal ?

Comme je n’habite pas au bord de l’eau, je suis obligé de le monter et de le démonter systématiquement. C’est une petite gymnastique que je maîtrise bien maintenant. Je prends toujours mon temps pour le monter, ce n’est pas un record à battre. C’est relativement facile. Et c’est assez cool parce que ça se partage.

Les dernières fois, je l’ai monté avec mon fils. C’est sympa, on le fait à deux. Bon, il est encore petit, mais je prends mon temps.

Quelles caractéristiques vous ont le plus étonné ?

Ce qui m’avait fait hésiter le plus, c’était les performances pures du voilier. Finalement, c’est plutôt satisfaisant. Pour un petit voilier transportable avec une coque gonflable, il repart assez rapidement, c’est dynamique, et il y a des petites sensations super cool pour le petit bout de voilier que c’est. C’est léger, ça se transporte en kit, et je suis agréablement surpris par le dynamisme du bateau et les sensations qu’il procure. Vraiment super cool.

Votre meilleur souvenir avec le Tiwal ?

Mon meilleur souvenir en voile, c’est en Grèce, quand on avait trouvé cette petite crique où il n’y avait personne pendant quatre jours. On était tout seuls, il y avait du vent et les conditions étaient idylliques. Je naviguais seul dans une crique paradisiaque au sud de la Crète. C’est le souvenir le plus sympa que j’ai.