Je m’appelle Julien. J’habite dans l’Hérault, pas très loin de la mer, du côté de Marseillan.
Quel modèle de Tiwal avez-vous ?
On a acquis un petit voilier Tiwal 2 en 2019, lorsqu’on est partis en bateau, autour du monde ou presque.
En tout cas, on avait fait un voyage jusqu’en Polynésie sur un catamaran en famille, avec ma femme et mes deux enfants.
Pourquoi avoir choisi Tiwal ?
Alors le Tiwal 2 parce que ses ailes gonflables, effectivement, c’était un côté plus adapté, je trouve, qu’un embarquement sur un voilier. Moins de métal, moins de poids, moins de stock. C’était un peu plus adapté. Et puis c’était pour mon fils de dix ans. Le Tiwal 2, en termes de taille, convenait parfaitement à un débutant de 10 ans. C’était ça la raison.
Comment s’est passée la prise en main du Tiwal ?
Ce qui était bien, c’est que mon fils, il a pas tellement confiance en lui, il a un peu peur sur certaines activités. Il n’est pas forcément très à l’aise, donc au début il a fallu le motiver un peu pour pouvoir en faire. Et puis au fur et à mesure, il a pris de la confiance en lui. Il a réalisé qu’il était capable de le faire. Il avait un peu peur de l’eau, un peu peur de tomber à l’eau. Au début j’en ai fait avec lui et puis petit à petit, je l’ai laissé en faire tout seul et il a pris confiance en lui. Il a compris qu’il était capable de manoeuvrer, qu’il était capable d’aller où il voulait, de s’arrêter, de tourner. En prenant confiance, il a pris du plaisir, il a aimé en faire.
Au mouillage, comment rangiez-vous la voile ?
Quand je le mettais en pause pas très longtemps sur l’eau, je l’enroulais et c’était très pratique de pouvoir l’enrouler. Sinon l’autre option aussi, c’était, je démâtais enroulé et je laissais la voile enroulée démâtée sur le pont. Donc il n’y avait plus qu’à remâter et regréer l’écoute. Non, c’était très simple. Moi, j’ai trouvé ça très simple d’utilisation de la garder, oui enroulée sur le pont aussi. Je pouvais aussi du coup la garder, par exemple, la nuit, enroulée, un petit peu ferlée avec des garcettes sur le pont, c’était très pratique.
Comment mettiez-vous votre Tiwal à l’eau ?
Pas de drisse pour pouvoir le monter ou le descendre. Il faut quand même être deux pour transporter la coque. C’est pas lourd du tout. Il faut juste une synchronisation. Un, deux, trois, hop il passe à l’eau. Il y avait deux méthodes : soit je le passais par l’arrière, soit je le passais sur le côté. Donc il y a plusieurs méthodes pour pouvoir le mettre à l’eau.
La dernière que j’ai utilisée, c’est passer par le côté. À deux, on le passe par-dessus bord, et ça glisse tout seul ensuite vers l’arrière en tenant un bout à l’avant, on le fait glisser à l’arrière du bateau.
C’est très pratique. Et on le remonte par l’arrière du bateau donc aucune difficulté par rapport à ça.
Et pour dire la vérité, on a sorti le bateau en navigation alors que notre bateau était en mer. On l’a sorti en navigation. En fait, quand on a traversé l’équateur, pour fêter ça, on a sorti le Tiwal. Et donc on n’a pas vraiment arrêté notre catamaran, on a continué d’avancer, de naviguer, on a gonflé le Tiwal, on l’a mis à l’eau. C’est un peu plus compliqué quand le bateau avance quand même. Il faut faire gaffe !
Content de votre Tiwal ?
On voulait faire profiter surtout à notre fils de dix ans, les joies de la voile, découvrir les joies de la voile et en apprenant un peu ce que c’était que la voile. C’était l’outil parfait pour ça. Et moi, j’ai pris beaucoup de plaisir à l’utiliser pour dire la vérité. J’en faisais, mes amis en faisaient quand ils venaient sur le bateau, j’en ai fait avec mon fils aussi évidemment, qui a pris beaucoup de plaisir à naviguer avec. Et là, on est revenu à terre. Il est basé à la Baule et on s’en sert toujours avec grand plaisir quand on retourne sur la côte atlantique.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
Je pense que c’était s’amuser effectivement dans le lagon à Bora. Là en plus, on était tout seuls dans le lagon, et puis moi j’avais un ami par exemple qui est venu sur le bateau passer quelques temps avec nous en Polynésie et c’est vrai qu’on s’amusait à se faire des petits concours comme ça, on s’imaginait un parcours entre les bateaux au mouillage et on se chronométrait, et on faisait celui qui faisait le meilleur temps, et cetera. Et du coup, on s’amusait bien à se tirer la bourre entre copains. On prenait le bateau à tour de rôle, et on essayait de faire le meilleur temps. Et voilà c’était un peu le jeu sympa qu’on se faisait avant l’apéro le soir au mouillage.