Bonjour je suis Hervé et j’habite à Béganne, sur les bords de la Vilaine, dans le Morbihan en Bretagne.
Quel modèle de Tiwal avez-vous ?
J’ai un dériveur Tiwal 3 depuis 2019 (3 ans).
Où naviguez-vous ?
J’habite sur les bords de la Vilaine. Donc je navigue devant chez moi, donc ça c’est pratique.
Mais aussi dans toute la baie de Quiberon. Je pars alors de Penerf en passant par Carnac, La Trinité, évidemment dans le Golfe du Morbihan, et puis pendant les vacances, en Finistère du côté de Port-la-Forêt.
Votre expérience avant le Tiwal ?
J’ai commencé quand j’étais petit par de la voile légère, classiquement, puis je suis devenu rapidement moniteur en croiseur, donc sur des bateaux plus grands.
J’ai même fait, après, une formation professionnelle c’est devenu un temps mon métier aussi. Donc j’ai fait pas mal de voile en compétition, plutôt sur des bateaux de 6.50 à 15 mètres.
Et puis aussi en voile légère, seulement en Laser.
Quelles caractéristiques vous ont le plus étonné ?
Je suis toujours surpris par la réactivité et la nervosité du bateau, c’est quelque chose qui me plaît aussi c’est à dire qu’avec un vécu de bateaux beaucoup plus grands et lourds, c’est quelque chose que j’apprécie.
Quels sont les avantages du Tiwal ?
Déjà, c’est sa simplicité dans l’usage, que ce soit sur le montage, en navigation, même dans le stockage après navigation.
Et puis aussi l’autonomie dans la pratique. C’est à dire que je prends mes deux sacs, je les mets dans la voiture et puis en fonction de mes envies et de la météo, eh bien je vais naviguer donc que ce soit en famille ou avec d’autres “Tiwaleux” lors de régates locales.
On peut partir effectivement tout seul avec mon bateau, partir d’endroits improbables que ça soit au bord d’une plage, ou que ça soit au fond d’une rivière donc voilà c’est quelque chose de facile à mettre en œuvre.
Ça permet aussi une grande accessibilité pour des enfants, ou même des plus grands qui débutent l’activité du bateau. Donc ça, c’est son point fort aussi, c’est quelque chose de très simple pour quelqu’un qui commence la voile. Mais comme c’est un bateau léger et donc assez nerveux, on peut aller chercher ses propres limites.
Je suis agréablement surpris, après pas mal d’années de continuer à apprendre à chaque sortie, de nouveaux réglages ou de nouveaux équilibres.
Content de votre Tiwal ?
Un bateau passe-partout, il a un tirant d’eau très faible, la dérive se remonte facilement on pourrait avoir des petits accidents, etc, c’est des choses qui sont très facilement gérables. Donc c’est un bateau qui permet de passer partout et d’explorer plein d’endroits différents.
On est proche de la nature parce que ça permet de démarrer et d’arriver à des endroits qui sont sauvages. Il y a un côté découverte, randonnée qu’on peut avoir avec ce type de bateau.
Et puis c’est un bateau qui rapproche les gens grâce à une communauté qui est très active via l’application Tiwal que ça soit via des régates, que ce soit via une activité familiale qui est partagée, ou même la curiosité des badauds qui sont intrigués par ce bateau. Et qui en tout cas, fait poser beaucoup de questions.
Votre meilleur souvenir sur le Tiwal ?
Cette montée d’adrénaline, lors de régates, c’est quelque chose d’intéressant, surtout en présence d’autres Tiwal. Donc un des bons souvenirs, c’était le tour autour du Golfe en 2020, où bah là, on a eu du vent, du soleil des concurrents Tiwal, etc. Donc ça, c’est des bons souvenirs.
Les autres souvenirs sont radicalement enfin c’est à l’opposé, c’est des souvenirs plutôt de quiétude, de contemplation quand on se balade sur des coins ou des randonnées un peu sauvages alors que ce soit sur des rivières ou à la rigueur dans des vasières au fond du Golfe du Morbihan.